Je trouve l´approche lacanienne sur rôle de la femme très à propos pour les oeuvres que j´ai étudiées pour mon mastère t mon doctorat: "La fiera" Marie Susini) et "Colomba et son frère" (Prosper Mérimée). La femme, c´est le sang, la terre, la nature, le refus des limites jusqu´à ce que l´homme, le maître des lois, des lieux et des règles arrive.D´une part nous avons une Colomba, qui est chez elle et qui impose la loi de son ventre et de ses racines à un Orso soummis, représentant de l´armée nationale, de la civilisation française, de l`Etat, le représentant de la loi officille. Cette loi est envoyée sur les roses (ou plutôt sur le maquis). Colomba, bien plantée sur sa Corse natale remporte les gloires sur ce frère maniéré, affaibli et dejà étranger. D´autre part, nous voyons la pauvre Sylvie, déracinée, comme um pommier planté dans un jardin de figues de barbarie, qui périt! Sylvie, dont même le prénom fait penser à la fraîcheur du vent dans les arbres périt. Sa belle-mère, Barbara ("la barbare")est sèche, dure et méchante, como son surnom l´indique: "la Spina" ("épine"). Elle vainct, comme Colomba, en imposant sa loi du sang, des entrailles, des racines et de la nature locale. Matteo, le mari de Sylvie, l´homme qui a vécu sur le Continent et qui devrait représenter la loi du père, et racommoder les choses n´est qu´une faible interface qui finalement est percée par l´épine du cactus qui atteint, de l´autre côté, en plein coeur la fleur de pommier fanée.
de Luiz Fenando Gaffrée Thompson
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