A minha vida imita a minha arte

Espero que gostem
das nossas imitações
colocadas em palavras
virgulando, reticenciando
Nossos mergulhos
Nessa loucura chamada
Pensamento

Luciana Gaffrée

domingo, 24 de julho de 2011

La Corse, puissance colonisatrice.

L´histoire de l humanité a été faite de colonisation sur colonisation. Si on va réviser toutes les colonisations on ne s´en sort plus! La France a été formée tout entière comme ça, les Francs ont commencé à coloniser tout ce qui était autour d´eux, par des achats, des alliances de mariage,des conquêtes militaires , c´est comme ça que la France s´est façonnée. Mais elle avait déjà été colonisée par l´Empire Romain et ainsi de suite. Ja vis dans un pays de colonisation de territoire, c´est-á-dire que les colonisateurs se sont installés ici, mais oú il y a un grand métissage, où toutefois il y a une forte présence culturelle d´origine portugaise et noire. Je ne suis pas noir ni d´origine portugaise proche...et pourtant je me me sens de culture afro-portugaise, malgré mes noms et la couleur de ma peau. Et il faut que ça soit comme ça, parce que si chacun de nous va essayer de retrouver ses racines, le pays et chacun de nous va être complètement déchiqueté. La Corse a été colonisée comme la Provence, la Savoie, le Périgord ou la Bretagne! Les nobles corses sont devenus des nobles français et le premier admistrateur de la France après le rattachement de la Corse était un Corse, que je sache. Là oui! Là c´était la vraie colonistaion: la France a fait un autre type de colonisation, comme l´Angleterre ou le Portugal aussi, beaucoup plus méchant: la colonisation de peuple, c´est-à-dire, exploiter le pays - honnêtement la France a exploité quoi en Corse, après le rattachement de la Corse? elle s´est enrichie d´une position stratégique, de colons et d´un Empereur - et ces pays, je reprend, la France, l´Angleterre, le Portugal s´en foutaient pas mal des populations locales. C´est ce que la France a fait en Algérie, au Maroc, en Tunisie, au Vietnam, en Afrique Noire , d´aiileurs avec un contingent de colons corses important, des colons beaucoup plus férus de civilsation fançaise que moi hihihihihih...je vois plutôt les Corses comme des colonisateurs que des colonisés, à commencer par Napoléon.

de Luiz Fernando Gaffrée Thompson

Le concept d´Histoire et d´appartenance nationale en deçà et au delà de l´Atlantique.

Je me rends compte qu´en fait, quand on est Brésilien c´est impossible de discuter sur nationalité avec des Européens. Un ami corse m´a expliqué très clairment, gentiment et didactiquement le problème corse...et j´ai bien compris! J´ai compris aussi que chez nous c´est tout à fait autrement: para exemple, il dit que les Bonaparte n´étaient pas Corse, qu´ils étaient Piémontais, d´ailleurs c´est la théorie d´un ami Italien. Mais selon ce raisonnoment aucun Bréslient ne serait Brésilien, puisque nos sommes tous venus d´ailleurs, surtout d´Europe et d´Afrique. Evidemment, il y a les indiens. Mails ils étaient peu nombreux au moment de l´arrivée des Portugais, au XVe et une partie a été exterminée et par ces Portugais, parce qu´ils mourraient des maladies apportées d´Europe comme la grippe ou ils s´enfuyaient au fin fond des forèts, où ils sont jusqu´à présent, ou s´y aculturant ou ne pas supportant la présence du Brésil "civilisé" - alors là ils meurent. De toute façon, ils sont très peu nombreus, vers 300 mill et nons sommes 190 millons d´habitants. Selon cette théorie de base éthinique, je serais quoi? Anglais? Puisque mon grand-père paternel était anglais et mon père citoyen britannique (né au Brésil, de mère brésilenne): et toutes les autres éthnies dont je porte le sang? Portugais, Espagnols, Français, Indiens? Mon ami Corse dit que que la Corse n´est française que depuis 230 ans. Pour nous c´est une éternité! Le Brésil existe en tant que Brésil. colonie protugaise. depuis le XVIe. Toutefois, en tant que lieu de fixation de colons en grand nombre, qu´à partir des invasions napoléonniennes, parce que le Prince Régent du Portugal et et toute la cour, y compris la Reine, D.Marie, la Folle, fuyant les troupes de Napoléon ont tranféré la capitale de l´Empire Portugais, de Lisbonne à Rio. Donc, si je puis dire, notre nationalité n´ A COMMENCÉ à être FORGÉE, que ça justement 230 ans. Et je crois que ce n´est pas que nous, à part les pays américains qui ont les civilsations inca, maya ou aztèque, nous sommes tous comme ça: EUA, Argentine, Canada.

de Luiz Fernando Gaffrée Thompson

sábado, 23 de julho de 2011

Délivrance.

De Calvi à Bonifacio
Des Lavezzi à Macinaggio
Je parcours l´île, elle tremble
en secouant monts et merveilles
Je regarde le ciel, tout blanc
il se déchaîne en flocons, il braille
Du sucre et des rythmes envahissent les montagnes
Je perds la tête, je délire, je déraille?

L´étranger sent un creux au fond de ses entrailles
La peur...moi,le métèque, je brise l´équilibre, alors?
Moi, un Brésilien, avec mes chansons et mes envies
Je fais danser l´île, je la couvre d´hiver du Nord
Je la fais Paris, Marie Antoinette et Charlemagne
Napoléon, Provence, province de France, mon gri-gri
Je la chante, sous un air tropical, chantonné par Henri
Salvador!

Elle se secoue, elle crie, elle se couvre de soleil
Comme un cancre, l´offensée expulse le conquistador
Cet envoyé d´un ensemble sanglant malfaisant
mélangeant réalité en portugais et délire en français
fou nationaliste de sa propre nationalité, fondateur!

Il vole, s´en va dans les airs
Elle respire, mal, envahie par les eaux du regret.

de Luiz Fernando Gaffrée Thompson

quinta-feira, 21 de julho de 2011

Água lusa...poema capenga procura conserto..

Sinto um friozinho em Viseu e em Resende
quando o carro pára para o almoço regado a azeite
Em Chaves encontro a entrada para as Agulhas Negras
Olho o mar, da Gávea vejo o Leme e a Torre de Belém
O Arpoador, que no Porto, pesca sardinhas fritas
É sol, é sal, é cheiro de marisia, gosto de língua
Da língua portuguesa.

Subo os arrecifes et mergulho até sair no cabo
no Cabo Verde e no Cabo Branco,
Canto com Cesária Évora e a loura de Campina Grande
com Capinam, Geraldo Azevedo e Elis Regina
Vou à praia em Praia, pelo sal do mar chego a Luanda
Bebo da Agualusa, procuro a mar, a brisa,a Marisa
em Maputo, puto,enrubecido da aliteração óbvia
Desço aos baixios das cidades baixas
e vou aos píncaros das cidades altas

De Porto Alegre vou ao Porto!...
navego, pois é preciso
Encontro um timoneiro e perco o Norte em Timor-Leste
O Príncipe de São Tomé tem um manto de vieiras com sal
da Guiné Bissau, de Portugal e de Natal, afinal:


O jogo de palavras
da homenagem à nossa identidade
me cansou, mas já me consolou
e deu até rima, prima,
Luciana

de Luiz Fernando Gaffrée Thompson

segunda-feira, 18 de julho de 2011

Costura

Dos tramas que se pliegan



por separado



enmarcan las gotas de la tarde





En un paisaje calmo y de temblores,



la luz



confunde el movimiento

con el agua



el verde

con las sombras



la reja en la ventana

con la vida.



En tanto

la noche

no deja de coser.



Alejandra Alma

A noite não existe, parece
está formada pela sombra das plumagens das árvores
A tarde desiste, fenece
campeia pintada de roxo e lilás

Mosquitos, grilos e rãs começam seu concerto vespertino
Odores, sabores, temores e tremores me invadem
tenho medo do escuro

Mergulho no rio e desperto no outro dia de uma manhã magnânima.

de Luiz Fernando Gaffrée Thompson

domingo, 17 de julho de 2011

Ma Corse à moi.

La Corse, c´est mon île à moi, c´est ma France à moi, c´est mon havre de paix et de bonheur, c´est mon luxe, mon calme et ma volupté.

de Luiz Fernando Gaffrée Thompson

La barque

Il faut naviguer parce qu´il faut vivre
La vie c´est du sel qui frappe ma carapace
C´est la vigueur étincelante de l´eau
C´est l´honneur de sentir le choc des poissons et des algues
Qui me poussent en avant
Aller chercher oursins moules crabes et les hybiscus marins

Vivre, il faut...parce je peux naviguer vaincre les vagues
Comme un cheval ailé à aviron et à proue qui s´en va vite, allègre
Je vaincs les dragons de mer et les lions des fonds sousmarins
Ma poitrine coupante brise les vents et mon mât pâme le temps

Les côtes volages s´éloignent
Je gagne les dunes d´eau salée
Je les coupe, je les tranche comme Slater
Douce comme un air de Bossa Nova.

de Luiz Fernando Gaffrée Thompson.

A barca

Navergar é preciso, porque viver é preciso
A vida é o sal batendo no meu casco, é o viço do brilho d´água
É o vício de sentir peixes e cardumes fazerem balouçar-me
Ir à frente a buscar ouriços, mariscos e hibiscos marinhos

Viver é preciso ...porque posso navegar, vencer as ondas
Qual um corcel de leme e quilha vou célere alegre
Venço anacondas do oceano e onças subaquáticas
Meu ventre cortante quebra os ventos e meu mastro é rastro que vence o tempo

As margens volúveis se afastam
Ganho as dunas de água salgada
Corto-as rígida como Slater
Mansa como uma canção de Nara Leão.

de Luiz Fernando Gaffrée Thompson

sexta-feira, 15 de julho de 2011

As Dunas das tuas barbas (de Luciana Gaffrée)


As dunas do meu caminho
Navegam porque é preciso
Ver-me atalho da sua estrada
Ver-te forma do meu destino

As dunas da minha orla
Margeiam as suas águas
Agitam nossos barcos ancorados
Fazem de nós maré-alta

Embevecidas contemplam
A nossa carta geográfica
E sujas de areia embarcam
Aproam na minha e tua proa

Essas brancas dunas volúveis
Inspiradas pelo teu vendaval
Guian, norteiam, navegam
Porque é preciso

Preciso é salgar a pele
Sempre que minha clepsidra diz
Meu amor está na hora
De beijar a sua aurora  

de Luciana Gaffrée

Le besoin d´actions affirmatives ou de défense des minorités sociales.

Oui, oui, j´ai parlé du blog "Pour une ..." comme issu d´un besoin de défense pour la littérature (et autres arts) corses. Oui, Oui, qui dit défense dit attaque, toutà fait! Mais j´ai parlé après d´actions affirmatives, ce qui ne suppose pas l´attaque, mais suppose la reconnaissance. Tout d´abord vous tous, mes lecteurs, vous devez vous demander pourquoi se sujet. la minorité culterelle corse, me tient particulièrement á coeur. Je l´explique: c´est une métaphore moins chargée de préjugé que la minorité homosexuelle, à laquelle j´appartiens, donc dont on pouvait plus facilement parler. Cedi dit, le problème des minorités m´a toujours touché, minorité comprsise au sens socilologique du terme: des groupes de personnnes soumises, par une ou des caractéristique sociales commune au groupe, à d´autres groupes. Le monde a beaucoup changé, j´ai 64 ans. Aujourd´hui on voit des minorités qui commencent à dominer ou, au moins à apparaître positivement, sans avoir à se cacher. Comme exemple, je cite le président des Etats-Unis, mulàtre, le ouvernement du Brésil, dont la présidente et les deux ministres qui correspondraient au premier ministre en France, qui sont des femmes, ou l´union civile entre les homosexuels, acceptée dans des pays à forte majorité catholique comme le Brésil, le Portugal ou même la France (je dis "même"' parce que la France n´a pas une si puissante influence du Vatican). Mais le sujet est toujours là et je me suis embarqué dans cette aventure de comprendre et de me mêler aux affaires corses et rien à faire, j´y suis maintenant. Bon, chez moi, on dt que les minorités, pour se faire respecter, femmes, non-blancs (au contraire de ce que les Européens pensent, la moitíé de la population brésilienne est de phéhotype blanc), homos, ils doivent faire le double que ferait un homme, blanc et hétéro, pour réussir. Mais une fois résussi, on oublie son appartenance problématique: est-ce qu´on fait encore attention à la couleur de la peau d´Obama, aux seins, ces bourrelets qui ressortent dans les robes de Dilma Roussef ou à sa voix aiguë, à ce que Bernard Delanoë est supposé faire entre les 4 murs de sa chambre? Alors, ma question concernant la Corse: pourquoi vouoir nier Napoléon, en tant que Corse, le Corse le plus réussi de l´Histoire (voyons... parce qu´il a fait mitraiiler des Corses insurgés? on sait très bien que la notion d´Etat national est née à la fin du XIXe!) Pourquoi ne jamais parler des auteurs corses reconnus en France et en dehors de ses rontières, comme Angelo Rinaldi et Marie Susini ou de Laetitia Casta, actrice et mannequi et dont Marianne a pris le visage pour représenter toute la France? Parce qu´ils ne font pas des action affirmatives de la nationalité corse para rapport á la nationalité française, qui est, d´ailleurs officiellement leur citotyenneté et la vôtre aussi? Je ne peux comprendre ce clivage - Corse-français réussis/Corse-niant leur francité - que par une action affirmative, à la manière de la négritude américaine. M. Renucci dit qu´il cherche des Corses géniaux: en voilà un, voilà un être humain - avec ses points négatifs et positifs - génial: Napoléon Bonaparte...et il était corse. Et il y a d´autres reconnus dans le monde des lettres ou du showbiz? Susini et Rinaldi; Letitia Casta ou, j´allais l´oublier, Tino Rossi !

de Luiz Fernando Gaffrée Thompson

domingo, 10 de julho de 2011

Littérature lusophone, homosexuelle, corse? Stigmate ou affirmation?

La question m´a récemment été posée par le blog auquel je collabore "Pour une littérature (et d´autre(s) arts corse(s). Le but de cette revue virtuelle est de racheter et promouvoir la littérature (et d´autres arts) de l´île de Corse. Il est intéressant de rappeler que les langues et les cultures régionales françaises, après leur moment de décadence pendant le XXe siècle, essaient de se relever et de s´affirmer. Ce sujet me rappelle aussi le thème que j´avais choisi pour mon mémoire de DEA à l´Université Fédérale de Rio de Janeiro: la littérature homosexuelle (ayant comme corpus Jean Genet), une littérature de genre. Ceci n´a pas été accepté par le fait que l´oeuvre de Genet est beaucoup plus complexe que cette étiquette était sensée expliquer. Néanmoins, on étudiait l´écriture féminine, à part! Un autre exemple des sousdivisions subies par la production littéraires en vases clos culturels (géographiques, linguistiques, de genre) c´est l´étude, qu´on fait nécessairement pendant le cursus de la formation pour les professeurs de portugais-littérature au Bésil,on étudie dans un domaine fermé les littératures lusophones: brésilienne, portugaise et africaines d´expression portugaise, ce à quoi on appelle le secteur des "vernaculaires". On va donc se restreindre, pour notre analyse, à un univers de réflexion, non alléatoire, mais dans lequel je suis plus à l´aise: la littérature corse, la littérature homosexuelle et la littérature lusophone.
Primo, je me pose la question suivante: comment peut-on caractériser chaqu´une de ces spécificités. Secundo, il faut savoir comment caractériser chaque spécificité et Tertio, est-ce que c´est valable de défendre de tels "esprits de clocher" littéraires?
De telles carctéristiques seraient out d´abord liée á la thématique, c´est ce qui saute aux yeux comme première repère pour carectériser ces littératures, ensuite on a l´identité culturelle des auteurs et, finalement, il y a la langue dans laquelle s´expriment les artistes. On voit alors que ce sont des critères qui ne servent pas à tous les cas présentés. La thématique semble être plus évidente et vérifiable pour tous les cas en question. Ainsi, il y aurait donc des oeuvres et non pas des auteurs qui utiliseraient une certaine thématique, vu que Paulo Coelho a souvent utilisé des sujets brésiliens pour l´éciture de ses poèmes, qui sont les paroles des chansons qu´il faisait avec Raul Seixas, et, autrement, il se tient aux inquiétations universelles de l´être humain, pour la prodution de son oeuve en prose; André Gide s´est voué à la thématique homosexuelle dans "L´Immoralite" et à des question philosophiques dans "Les Faux monnayeurs" et Marie Susini a écrit une "Trilogie Corse", régionale, et "C´était cela notre amour", où elle analyse la période bouleversante de la vie des jeunes au Paris de mai 68(ce qui s´est répandu dans le monde entier) J´ai cité quelques cas emblématique, à guise d´exemple, où la thématique ne caractérise que l´eouvre. D´ailleurs on pourrait se questionner si Angelo Rinaldi, critique littéraire du Nouvel Observateur, qui a une oeuvre touffue, où il y a des références passagères à sa Corse natale, ferait de la littérature corse. Par ailleurs, est-ce que Gavino Ledda, celui-là dans l´univers italien, qui a écrit originalement en sarde et sur des problèmes censés ne concerner que son île, ferait de la littérature sarde, une fois que les rapports de "Padre padrone" sont les problèmes des rapports autoritaires pére-fils de l´humanité entière, selon le moment de son Histoire? Quant à l´identidaé culturelle des auteurs des oeuvres, on n´a pas besoin d´aller chercher très loin, il suffit de regarder les exemples déjà cités: des auteurs corses qui parlent de Paris, sous un regard parisien, un auteur homosexuel que se voue á analyser les problèmes exitenciels de l´humanité, avec des sentiments semblables á ceux qui pourrait avoir un hétérosexuel. On voit encore que le succès de Paulo Coelho dans le monde entier montre que la lecture qu´il fait des probèmes exitenciels de l´être humain s´adapte aux inquétations des habitants de la planète entière. Maintenant regardons l´idiome dans lequel on écrit et qui caractérise notre littérature LUSOPHONE, dont le nom se charge de transmettre le label de la langue portugaise comme la caractéristique de ce type d´ensemble littéraire. Cependant, il y a des auteurs à thématique homosexuelle qui écrivent dans leur langue différente, ou des auteurs qui s´occupent de problémes régionaux et qui le font, en langues différentes, comme les Corses qui peuvent écrire en français, en corse, en italien. Ceci dit, donc, on se rend compte donc que la marque de l´écriture en portugais, pour cerner nos littératures, sont propres à la littérature lusophone. Pourquoi? Il convient de rappeler (en dépit des littératures orales tribales des indiens brésiliens et des tribus africaines, non véhiculées, par des problèmes historiques et politiques)que de la frontière de la Galíce espagnole avec le Portugal, jusqu´à l´état de l´ Acre, à l´extrême Ouest du Brésil, à la frontière du Brésil avec l´Uruguay, au Sud, en passant par les pays d´expression portugaise de l´Afrique et Timor-est, nous avons un univers linguistque très homogène, si l´on le compare aux grand empires linguistiques du monde occidental moderne. En contrepartie, nous pouvons citer la Corse, qui a un tiers des dimensions de l´état de Rio de Janeiro (un état à surface exiguë, pourtant), qui présente un substrat de langue corse, une francophonie dominante á 100% et qui a déjà été italophone, puisque le corse n´était pas une langue écrite.
Dans cet unovers si fragmenté, je trouve un point de convergence pour défendre l´étiquetage des littératures homo, corse ou lusophone. Et c´est l´ímportance de la polique culturelle, qui doit défendre les barrières et promouvoir chaque type de littérature: la littérature corse doit se défendre pour faire face à l´univers richissime, d´importance mondiale, de la procuction française, et pour ce faire la Corse doit utiliser la thématique; la littérature homosexuelle doit prôner la liberté de l´expression de la diversité sexuelle, son arme doit être l´orientation sexuelle de ses auteurs et la littérature lusophone, dans un contexte d´un Occident riche en prductions littéraires, beauucoup plus cotées que la nôtre et beaucoup plus véhiculées, comme la francophone, l´anglophone, l´hispanophone,l´italienne ou la russe a besoin de se faire connaître et de se faire respecter, un ayant comme emblème la langue portugaise.
Ce sont de pont de vue personnels que j´offre au débat.

de Luiz Fernando Gaffrée Thompson

Literatura lusófona, homossexual, corsa? Por quê?

A questão recentemente foi-me colocada pelo blog com o qual colaboro "Pour une littérature (et d´autre(s) corse(s. O objetivo desta revista virtual é de soerguer e promover a literatura (e outras artes) da ilha da Córsega, província francesa, espécie de enclave situado entre as ilhas e a bota italiana, uma comunidade teritorial de minoria cultural francesa. Convém lembrar que as línguas e culturas regionais francesas, depois de sua decadência advinda durante o século XX, tentam se recuperar, reafirmarem-se. O assunto também me lembra um tema que pensei em escolher para minha dissertação de mestrado na UFRJ: a literatura homossexual (focalizando Jean Genet) uma literatura de gênero. O que me foi desenoorajado por ser a obra de Jean Genet maior do que a etiqueta que eu queria colocar. Ao mesmo tempo, estudávamos a escrita feminina, tomando, por exemplo, como corpus, obras de Lia Luft, o que mostrava a possiblilidade de subdivisões. Ainda mais um exemplo da repartição da produção literária em compartimentos culturais (geográficos, linguisticos, de gênero), o estudo que se fazem necessariamante, nas universidades brasileiras, quando se vai obter um título de professor de português, das literautras lusófonas: brasileira, portuguesa e africana de expressão portuguesa, a que chamamos de "vernáculas". Vamos, então, cingirmo-nos a um universo de reflexão, não aleatória, mas onde circulo melhor: a literatura corsa,a literautra homossexual, a literatura lusófona.
A minha primiera pergunat é saber como caracterizar cada uma dessas especificidades e em segundo lugar, pergunto-me por que e se é válida a defesa de tais "igrejinhas" literárias.
É a temática que me salta aos olhos como primeira marca para caraterizar tais literaturas, seguida da identidade cultural dos autores de tais obras e, terceiro temos a língua em que se expressam tais artistas. Vemos que são critérios que não servem para todos os casos apresentados. A temática sem dúvida parece ser mais marcante e verificável. Então haveria obras e não autores de determinadas temáticas, uma vez que Paulo Coelho pode usar assuntos brasileiros nos seus poemas escritos nas letras das canções em parceria com Raul Seixas e se ater a inquitações universais do ser humano no seus romances; André Gide dedica-se à temática homossexual em "L´immoraliste" e à filosofia em "Les Faux monnayeurs" e Marie Susini escrevu uma "Trilogie Corse", regional, ou "C´était cela notre amour", em que analisa as relações humanas na Paris de maio de 68. Aqui foram citados alguns casos emblemáticos á guisa de exemplo. Quanto à identidade culutral dos autores das obras, não precisamos ir muito longe, os exemplos citados mostram uma autora corsa que escreve sobre Paris, sob um um olhar parsisiense et um autor homossexual que se debruça sobre problemas existenciais com os mesmos sentimentos que um hetero sexual aparentemente teria sobre o mesmo tema e o sucesso de Paulo Coelho no mundo todo mostra que a sua leitura dos problemas íntimos do se humano são o mesmos em qulaquer lugar do planeta. Passmos ao idioma que tanto marca a nossa literatura LUSÓFONA, cujo nome já carrega a marca do lígua em que é escita. Entretanto, há autores homossexuais, é claro, com temáticas homossexuais em diversas línguas e culturas, podemos citar peças de Nélson Rodrigues ou as de Genêt, apenas para ilustrar, pois são muitas. Quanto ao idioma em que se escreve, já devido aos exemplos que foram dados, vemos que o parâmetro se aplica, dentro do universo que escolhemos, às obras em português. Cabe lembrar (a despeito da literatura oral tribal dos índios do Brasil e das tribos africanas) ressaltar que da fronteira da Galícia com Portugal, até o Acre no extremo Oeste co Brasil, à fronteira do Brasil com o Uruguai, passando pelos países de expressão portuguesa da Ágrica e Timos-Leste, temos um universo linguístico homogêneo, do qual não nos damos conta. Claro que há diferenças de prosódia e e de léxico, mas é pouco se compararmaos aos grandes impérios lingusinticos do Ocidente, como o mundo hispanoparlante, anglófono ou francófono. Podemos citar como exemplo a Córsega, que tem um subsatrto de língua corsa, uma francofina dominante, que já foi italofônica, pelo fato do corso sóe ter adquirido codiicação escrita nos últimos trinta anos. portuanto escrevem em francês, agora e corso, já foi em italiano (toscano) e em latim.
Neste universo tão fragmentado, acho válida a defesa e um determinado tipo de literatura com um determinado tipo de literatura! Por razões políticas! A literatura corsa, deve-se defender para fazer sua vos ecoar, no universo riquíssimo e universalmente dominante da literatura francesa, pela sua temática: a literatura homossexual como um libelo de libertade de gênero pela sexualidade de seus autores e a literatrura lusófona, num Ocidente, de literaturas de renome e muito veiculadas, como a francesa, a inglesa, a russa, a italiana ou a espanhola, tem que difundir-se,fazer-se respeitar.
São pontos de vista pessoais que coloco aqui para que sejam debatidos.

de Luiz Fernando Gaffrée Thompson


(Je traduirai en français)

sexta-feira, 8 de julho de 2011

7.7

Dijo libertad.
la vocal abierta se expandió
entre muros de oficina.
construyó ventanas
de una sola sílaba

Le pareció fácil
soltar una a,
quitarle los ojos de encima

Le pareció extraño
A la mitad de su vida
saber el tiempo preciso

Le pareció una bella tarde
Y salió despacio

El lugar allado iba consigo.

de Alejandra Alma




O ar r r r saiu batendo nas paredes, nos cantos, nos rostos
ar r r que se soltou da palavra "liberta a a a a d"
O a r r r r r foi voltou subiu desceu rodopiou fugiu

O ar r r r r r retornou com a tar ar ar ar de
ardente arfante arrefecido ao sol minguante

Aquecido acompanhou o caminho do luar ar ar ar...


de Luiz Fernando Gaffrée Thompson

domingo, 3 de julho de 2011

O Ser Manuela

Rocha.
Montanha Rochosa.
Estou Cordilheira.
Subo a Serra.  
Oxigeno a alma.
Pauseio.

As pedras quentes
Transpiram por implosivas
Definem o horizonte
Alisam o caos
Perspectivam o ser

Ser Má
Ser Nu
Ser Ela

de Luciana Gaffrée