Oui, oui, j´ai parlé du blog "Pour une ..." comme issu d´un besoin de défense pour la littérature (et autres arts) corses. Oui, Oui, qui dit défense dit attaque, toutà fait! Mais j´ai parlé après d´actions affirmatives, ce qui ne suppose pas l´attaque, mais suppose la reconnaissance. Tout d´abord vous tous, mes lecteurs, vous devez vous demander pourquoi se sujet. la minorité culterelle corse, me tient particulièrement á coeur. Je l´explique: c´est une métaphore moins chargée de préjugé que la minorité homosexuelle, à laquelle j´appartiens, donc dont on pouvait plus facilement parler. Cedi dit, le problème des minorités m´a toujours touché, minorité comprsise au sens socilologique du terme: des groupes de personnnes soumises, par une ou des caractéristique sociales commune au groupe, à d´autres groupes. Le monde a beaucoup changé, j´ai 64 ans. Aujourd´hui on voit des minorités qui commencent à dominer ou, au moins à apparaître positivement, sans avoir à se cacher. Comme exemple, je cite le président des Etats-Unis, mulàtre, le ouvernement du Brésil, dont la présidente et les deux ministres qui correspondraient au premier ministre en France, qui sont des femmes, ou l´union civile entre les homosexuels, acceptée dans des pays à forte majorité catholique comme le Brésil, le Portugal ou même la France (je dis "même"' parce que la France n´a pas une si puissante influence du Vatican). Mais le sujet est toujours là et je me suis embarqué dans cette aventure de comprendre et de me mêler aux affaires corses et rien à faire, j´y suis maintenant. Bon, chez moi, on dt que les minorités, pour se faire respecter, femmes, non-blancs (au contraire de ce que les Européens pensent, la moitíé de la population brésilienne est de phéhotype blanc), homos, ils doivent faire le double que ferait un homme, blanc et hétéro, pour réussir. Mais une fois résussi, on oublie son appartenance problématique: est-ce qu´on fait encore attention à la couleur de la peau d´Obama, aux seins, ces bourrelets qui ressortent dans les robes de Dilma Roussef ou à sa voix aiguë, à ce que Bernard Delanoë est supposé faire entre les 4 murs de sa chambre? Alors, ma question concernant la Corse: pourquoi vouoir nier Napoléon, en tant que Corse, le Corse le plus réussi de l´Histoire (voyons... parce qu´il a fait mitraiiler des Corses insurgés? on sait très bien que la notion d´Etat national est née à la fin du XIXe!) Pourquoi ne jamais parler des auteurs corses reconnus en France et en dehors de ses rontières, comme Angelo Rinaldi et Marie Susini ou de Laetitia Casta, actrice et mannequi et dont Marianne a pris le visage pour représenter toute la France? Parce qu´ils ne font pas des action affirmatives de la nationalité corse para rapport á la nationalité française, qui est, d´ailleurs officiellement leur citotyenneté et la vôtre aussi? Je ne peux comprendre ce clivage - Corse-français réussis/Corse-niant leur francité - que par une action affirmative, à la manière de la négritude américaine. M. Renucci dit qu´il cherche des Corses géniaux: en voilà un, voilà un être humain - avec ses points négatifs et positifs - génial: Napoléon Bonaparte...et il était corse. Et il y a d´autres reconnus dans le monde des lettres ou du showbiz? Susini et Rinaldi; Letitia Casta ou, j´allais l´oublier, Tino Rossi !
de Luiz Fernando Gaffrée Thompson
Aqui encontrarão contos, poesias e reflexões de vários amigos e/ou poetas amorosos, amigos e queridos, de várias partes do mundo, em um trabalho muitas vezes inconcluso. Esperamos que gostem. Luciana Gaffrée; Luiz Fernando Gaffrée Thompson materportugues@gmail.com
A minha vida imita a minha arte
Espero que gostem
das nossas imitações
colocadas em palavras
virgulando, reticenciando
Nossos mergulhos
Nessa loucura chamada
Pensamento
Luciana Gaffrée
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