Dernière soirée
.por Marie-Paule Simonetti Dolovici, segunda, 9 de Abril de 2012 às 08:40 ·.
Il était beau comme un dieu. Le genre de gars à la démarche assurée, grand, musclé à la gueule virile. Il salua ses copains d'un geste désinvolte.
Des filles se précipitèrent, pépiant , la jupe au raz du minou, l'air pétasse.
Il se marrait avec ses potes, une gonzesse sur les genoux, la main dans le soutif, pinçant probablement un téton durci.
Je mouillai rien qu'en les regardant.
Moi, je n'osais même pas me lever et danser. Avec mes kilos , c'était un acte interdit.
Je n'avais pas envie de venir, mais ce soir là on m'avait forcé la main. Je buvait un truc à base d'un rhum immonde, abandonnée par les copines qui baisaient dans un coin ou qui tortillait du cul sur la piste.
J'aurais mieux fait de rester à m'abrutir devant la téloche, un paquet de chips pour seul compagnie. Là, j'avais même pas de chips.
Je rêvassais dans le vide quand on me tapota sur l'épaule.
C'était gueule d'ange. Il m'offrit un deuxième rhum jsais-pas-quoi puis on tenta d'échanger quelques borborygmes. Je sais pas pourquoi, je l'invitai chez moi, c'était pas loin.
Le plus dingue c'est qu'il accepta. Il me suivit avec sa bagnole. Il se gara devant l'entrée de mon immeuble.
Putain, qu'il était beau! Il était gaulé comme pas possible. Je mouillai sans même qu'il me touche. Il ne me touchait pas d'ailleurs. Normal avec ma tronche. Je m'étais apprêtée cependant, épilée et tout et tout. Pas un poli qui dépasse! Un joli gros con bien lisse et propre....Perdu dans les replis de mes cuisses. Invisible ou presque.
Lui, en le voyant à poil, j'étais lubrifiée, un autocar pouvait entrer.
Mais c'était mollasson. Il me mit à genoux. Je compris.
Je le suçais. Quelle était belle sa bite...Je m'interrompis pour le lui dire. Il rit et m'empoigna par les cheveux pour me forcer à continuer.
Alors je m'appliquais. J'entortillais ma langue autour de son gland, chatouillant la petite fente avec la pointe, tout en caressant ses couilles avec mes mains. J'aspirais avec application et constance. Il finit par gémir, les yeux fermés. Le rythme s’accéléra. Au dernier moment il tira ma tête en arrière. Je ne résistai pas. Il aspergea ma face de son foutre. Il rit en me voyant grimacer.
Il se vautra sur mon lit , cigarette au bec, téléphone à la main. Il envoyait des SMS. Les "bing" insistants prouvaient une conversation instantanée et soutenue.
J'allais me rhabiller quand il me somma d'un "reste comme tu es, salope, c'est pas fini."
Il se mit à s'astiquer. je le regardais alors il se détourna en grognant et mata la couverture du magasine télé avec Jessica Alba qui le fixait de ses yeux noirs.
Il me dit d eme mettre en levrette. Je suppose qu'il ne voulait pas voir ma face. Alors gourdin en avant il plongea dans mon vagin avec une force brutale, qui m'arracha uhn cri. Il commença un va et vient infernal, je sentais son braque qui me donnait des coups qui me faisaient presque mal. Je me retins de hurler de plaisir ou de douleur , jsais pas. J'avais peur de l'effrayer un peu plus.
Mais il me frappa et cria un "gueule salope,gueule." Il avait vue sur mes fesse molles et lourdes, vérolée de graisse, une gelly s'agitant en rythme.
Ses doigts se mirent à explorer mon cul. Quand il m'estima prête , il changea de trou et m'enfourna.
Ce fut si fort que je failli en mourir. De plaisir assurément.
Je le sentais en moi, je sentais ce sexe brûlant qui me défonçait mes intestins. Je criais plus fort encore.
Il finit par exploser, mettant du sperme sur mes fesses. Il avait dû ôter cette capote que je lui avait demandé de mettre avec insistance pourtant. ça devait le gêner.
J'écris ces lignes alors qu'il se douche. L'enfoiré, il est en train de vider mon cumulus après s'être vidé les couilles sur moi.Il ne m'avait pas caressé. C'est pas grave, je le ferai moi même quand il sera parti en pensant à sa bite.
Tiens le téléphone bipe encore. Je ne peux résister. Je vais lire ses SMS.
Pourquoi? Mais putain de bordel de merde ? Pourquoi ai je lu?
L'enfoiré a pris des photos. M'a enregistré en train de gueuler. On me voit m'essuyant le visage de son foutre .On me voit à poil assise sur le petit pouf . On m'entends "gueuler comme une truie", dixit un de ses potes..."tu t'es fait le plus gros thon" "quelle lovia" Putain, mon gars tu l'as même enculé? T'as du cran!" "T'as gagné le pari haut la main..." Des trucs comme ça. La lovia , la truie, le thon c'est moi...
Il est en train de descendre.
La fenêtre est ouverte.
Il allait vers sa voiture. il entendit un drôle de bruit mais n'y prêta pas attention. Il pensait qu'il venait de niquer le plus gros tas de la ville. Il riait. ça ferait quoi? 500 euros? peut-être bien...
Ce qu'il n'avait pas compris, c'est que ses 92,5 kilos lui tombaient dessus.
Il ne se rendit compte de rien.
Il ne resta plus qu'un seul et unique tas de chair morte.
On a retrouvé son petit carnet posé sur sa coiffeuse, avec ces quelques lignes en testament
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