1.Qu´entend l´auteur par "discrimination institutionnelle"?
2.Que cherche le policier quand il fait le contrôle d´identité? Mounir, s´en sort-il bien?
3.Par quel fait divers Mounir peut prouver qu´il est considéré un citoyen de deuxième classe?
4.Dans quel but Mounir assigne le Ministère de l´Intérieur en justice?
5.Armel est sérieux! Qu´est-ce qui prouve cela dans le texte?
6. Un élu de la Région Parisienne subi lui aussi des contrôles policiers humiliants. Qu´est-ce qui le choque le plus?
7.Omar Mas-Capitolin fait un travail contre la ségrégation de la police parisienne envers les gens de couleur. Que fait-il?
8.Quelles sont les caractéristiques choisies par la police française pour repérer ses victimes de contrôle?
9.Saïd Febbouche trouvait normal qu´on fasse des contrôles quand il était adolescent. Pour ses enfants, il ne l´admet pas! Pourquoi?
10.Que veut-il dire une "politique d´évitement"? Donnez-en un exemple, s´il vous plaît.
domingo, 22 de abril de 2012
domingo, 15 de abril de 2012
A propos de la poterie Terraghja, des potiers Griffi, de Francardo, en Corse, France.
Donc Fanfan Griffi auteur avec ses élèves de cette poterie a exercé à Francardu, pas en Balagne Luiz mais on dit, Le Centre Corse, car pour le coup c'est moi qui vais me vexer, et le lieu de production, Jacques, était devenu PROMETEU, ou l...es ARTS du FEU....Toute cette belle initiative créée avec l'aide de ma commune, Omessa ,mais avec des subventions de la CT, de l'EU, est partie en fumée.....ils auront abusé du feu???? Certains y ont laissé des plumes puisqu'il y avait des actions vendus à des particuliers qui ont tout perdu. Un projet un peu utopique et surtout mal géré, des produits trop chers qui étaient exposés dans toute la Corse et devaient également être exportés. Une réalisation partie de l'ancienne cheminée d'une briqueterie,(XIXè) elle également restaurée,un très gros ouvrage avec en appui: salle d'expo, restaurant, visites guidées, ventes bien entendu, et la possibilité de voir travailler sur place les forgerons, potiers et autres céramistes. Petite anecdote :en amont du projet et pour tester le produit, comme on dit, il y a une huitaine d'années, a été organisé un stage concernant tous ces métiers et pour le bronze, est venu un africain du Burkina Faso. Dernière soirée, comme toujours ici, la fête, le feu de camp, le partage, les chants et j'ai droit à un cadeau, un bracelet qui ne m'a plus jamais quitté, ciselé dans le bronze par l'artiste professeur africain!!!!Le trimestre suivant, je faisais un article pour le journal du village et je mentionnais l'initiative et l'espoir d'une population attentive à la création d'emplois. Au plus fort de son existence, Prometeu emploiera 25 personnes. Donc Luiz garde bien précieusement ton vase, il finira par avoir une côte et d'ici là, il aura fait parlé de lui sur FB!!!!! La dernière fois que j'ai eu des nouvelles de Fanfan on le disait en Am du Sud, tu pourrais le rencontrer et te faire fabriquer ....beaucoup de vases made in Corsica!!!
de Marie-France Soumare-Lorenzi
de Marie-France Soumare-Lorenzi
Pour mes élèves de Relations Internationales
Questions sur le texte "Contrôles au faciès: "Je suis black, ils n´en arrêtent qu´un, c´est moi"
Le Monde, 11.04.2012, signé par Emeline Cazi.
1.Qu´entend l´auteur par "discrimination institutionnelle"?
2.Que cherche le policier quand il fait le contrôle d´identité? Mounir, s´en sort-il bien?
3.Par quel fait divers Mounir peut prouver qu´il est considéré un citoyen de deuxième classe?
4.Dans quel but Mounir assigne le Ministère de l´Intérieur en justice?
5.Armel est sérieux! Qu´est-ce qui prouve cela dans le texte?
6. Un élu de la Région Parisienne subi lui aussi des contrôles policiers humiliants. Qu´est-ce qui le choque le plus?
7.Omar Mas-Capitolin fait un travail contre la ségrégation de la police parisienne envers les gens de couleur. Que fait-il?
8.Quelles sont les caractéristiques choisies par la police française pour repérer ses victimes de contrôle?
9.Saïd Febbouche trouvait normal qu´on fasse des contrôles quand il était adolescent. Pour ses enfants, il ne l´admet pas! Pourquoi?
10.Que veut-il dire une "politique d´évitement"? Donnez-en un exemple, s´il vous plaît.
de Luiz Fernando Gaffrée Thompson
Le Monde, 11.04.2012, signé par Emeline Cazi.
1.Qu´entend l´auteur par "discrimination institutionnelle"?
2.Que cherche le policier quand il fait le contrôle d´identité? Mounir, s´en sort-il bien?
3.Par quel fait divers Mounir peut prouver qu´il est considéré un citoyen de deuxième classe?
4.Dans quel but Mounir assigne le Ministère de l´Intérieur en justice?
5.Armel est sérieux! Qu´est-ce qui prouve cela dans le texte?
6. Un élu de la Région Parisienne subi lui aussi des contrôles policiers humiliants. Qu´est-ce qui le choque le plus?
7.Omar Mas-Capitolin fait un travail contre la ségrégation de la police parisienne envers les gens de couleur. Que fait-il?
8.Quelles sont les caractéristiques choisies par la police française pour repérer ses victimes de contrôle?
9.Saïd Febbouche trouvait normal qu´on fasse des contrôles quand il était adolescent. Pour ses enfants, il ne l´admet pas! Pourquoi?
10.Que veut-il dire une "politique d´évitement"? Donnez-en un exemple, s´il vous plaît.
de Luiz Fernando Gaffrée Thompson
sábado, 14 de abril de 2012
El misterio de la espuma/ O mistério da espuma do cristal e do sangue.
Esto que escribe dice lujoso soñarte
dice comulgo con los fantasmas desprovistos de historia
dice que las palabras son el jazz de la risa
y la pena mas larga de los árboles del bosque
Visito la ciudad en el misterio de la espuma
en la ebriedad irreconocible de la sagrada alegoría de las moscas
visito aquella cama con sus sábanas de incendio
la violenta pared del mar que me confunde
la noche con la luna hielo tierno de la carne
buscando manos disparadas de los párpados
lamentos, equinoccios, pueblos, llamaradas
la lluvia imposible del espasmo
Voy entre espejismos con los puños cerrados
Ardes en la memoria
ardes en el vientre como un paisaje ahogado
ardes en la sangre como un sueño que huye
ardes como la muerte que se acerca a nombrarte
en el enorme baldío de la vida encadenada.
Cascada oscura de niebla
mano abierta del insomnio
puerta de candados múltiples
puente de sol desdichado
Caes de tu nombre
precipitadamente caes
en la opaca guillotina de miel en que me crucificas
Caes desde el grito
como una garganta palpitante
en la ruina momentánea de las estaciones violentas
No digas nada , aparta los clavos transparentes
las metáforas siempre son peligrosas
dicen fruta y son harapos que respiran.
Ve a dormir rodeado de cuchillos que
todavía estoy viva
contemplando mi esqueleto.
No digas nada.
Soy espacio en la maleza que grita lejanía.
de Laura Inés Martínez Coronel
As metáforas pingam como gotas de cristal, neste poema de Laura
Gotejam como sangue também tingindo de rubro o cristal
Como um lustre dos anos cinquenta infinito que vai do teto até o vácuo
Como arabescos de gelo e de mestruações que atinjem o infinito
Inês, aquela que foi rainha, embora morta
eleva à Glória a beleza e os bordados tecidos com suas palavras
seus sentimentos
seus instintos.
de Luiz Fernando Gaffrée Thompson
dice comulgo con los fantasmas desprovistos de historia
dice que las palabras son el jazz de la risa
y la pena mas larga de los árboles del bosque
Visito la ciudad en el misterio de la espuma
en la ebriedad irreconocible de la sagrada alegoría de las moscas
visito aquella cama con sus sábanas de incendio
la violenta pared del mar que me confunde
la noche con la luna hielo tierno de la carne
buscando manos disparadas de los párpados
lamentos, equinoccios, pueblos, llamaradas
la lluvia imposible del espasmo
Voy entre espejismos con los puños cerrados
Ardes en la memoria
ardes en el vientre como un paisaje ahogado
ardes en la sangre como un sueño que huye
ardes como la muerte que se acerca a nombrarte
en el enorme baldío de la vida encadenada.
Cascada oscura de niebla
mano abierta del insomnio
puerta de candados múltiples
puente de sol desdichado
Caes de tu nombre
precipitadamente caes
en la opaca guillotina de miel en que me crucificas
Caes desde el grito
como una garganta palpitante
en la ruina momentánea de las estaciones violentas
No digas nada , aparta los clavos transparentes
las metáforas siempre son peligrosas
dicen fruta y son harapos que respiran.
Ve a dormir rodeado de cuchillos que
todavía estoy viva
contemplando mi esqueleto.
No digas nada.
Soy espacio en la maleza que grita lejanía.
de Laura Inés Martínez Coronel
As metáforas pingam como gotas de cristal, neste poema de Laura
Gotejam como sangue também tingindo de rubro o cristal
Como um lustre dos anos cinquenta infinito que vai do teto até o vácuo
Como arabescos de gelo e de mestruações que atinjem o infinito
Inês, aquela que foi rainha, embora morta
eleva à Glória a beleza e os bordados tecidos com suas palavras
seus sentimentos
seus instintos.
de Luiz Fernando Gaffrée Thompson
La suscetibilté corse est une maladie!
Luiz Fernando Gaffrée Thompson: Ce vase en poterie derrière est corse!
Marie-Paule Simonetti Dolovici ah oui c'est vrai!!!
Francescu Néviani: J'en doute ? (Soutenu par Muryel Sette Nave)
Luiz Fernando Gaffrée Thompson: Vous avez raison, je me suis trompé: il est trop beau pour être corse!!! Mais écoutez, vous êtes vraiment malades! Si, il est corse! De toute façon, je n´ai pas l´habitude de mentir, surtout si ça ne m´avance rien! C´est du Miagela-Tegriffi, au moins c´est qui est signé sous lui et selon que ce que je peux lire. Je l´ai acheté à Bastia, la dernière fois que j´ai été chez vous, dans un magasin de poterie situé dans une rue qui monte un peu, après la poste et la mairie. J´en ai un bleu foncé qui est sur le meuble où il y a le truc en cuivre "posé sur la tête de la dame" qui est corse aussi: je l´ai acheté à Corte.
Marie-Paule Simonetti Dolovici ah oui c'est vrai!!!
Francescu Néviani: J'en doute ? (Soutenu par Muryel Sette Nave)
Luiz Fernando Gaffrée Thompson: Vous avez raison, je me suis trompé: il est trop beau pour être corse!!! Mais écoutez, vous êtes vraiment malades! Si, il est corse! De toute façon, je n´ai pas l´habitude de mentir, surtout si ça ne m´avance rien! C´est du Miagela-Tegriffi, au moins c´est qui est signé sous lui et selon que ce que je peux lire. Je l´ai acheté à Bastia, la dernière fois que j´ai été chez vous, dans un magasin de poterie situé dans une rue qui monte un peu, après la poste et la mairie. J´en ai un bleu foncé qui est sur le meuble où il y a le truc en cuivre "posé sur la tête de la dame" qui est corse aussi: je l´ai acheté à Corte.
segunda-feira, 9 de abril de 2012
Dernière Soirée
Dernière soirée
.por Marie-Paule Simonetti Dolovici, segunda, 9 de Abril de 2012 às 08:40 ·.
Il était beau comme un dieu. Le genre de gars à la démarche assurée, grand, musclé à la gueule virile. Il salua ses copains d'un geste désinvolte.
Des filles se précipitèrent, pépiant , la jupe au raz du minou, l'air pétasse.
Il se marrait avec ses potes, une gonzesse sur les genoux, la main dans le soutif, pinçant probablement un téton durci.
Je mouillai rien qu'en les regardant.
Moi, je n'osais même pas me lever et danser. Avec mes kilos , c'était un acte interdit.
Je n'avais pas envie de venir, mais ce soir là on m'avait forcé la main. Je buvait un truc à base d'un rhum immonde, abandonnée par les copines qui baisaient dans un coin ou qui tortillait du cul sur la piste.
J'aurais mieux fait de rester à m'abrutir devant la téloche, un paquet de chips pour seul compagnie. Là, j'avais même pas de chips.
Je rêvassais dans le vide quand on me tapota sur l'épaule.
C'était gueule d'ange. Il m'offrit un deuxième rhum jsais-pas-quoi puis on tenta d'échanger quelques borborygmes. Je sais pas pourquoi, je l'invitai chez moi, c'était pas loin.
Le plus dingue c'est qu'il accepta. Il me suivit avec sa bagnole. Il se gara devant l'entrée de mon immeuble.
Putain, qu'il était beau! Il était gaulé comme pas possible. Je mouillai sans même qu'il me touche. Il ne me touchait pas d'ailleurs. Normal avec ma tronche. Je m'étais apprêtée cependant, épilée et tout et tout. Pas un poli qui dépasse! Un joli gros con bien lisse et propre....Perdu dans les replis de mes cuisses. Invisible ou presque.
Lui, en le voyant à poil, j'étais lubrifiée, un autocar pouvait entrer.
Mais c'était mollasson. Il me mit à genoux. Je compris.
Je le suçais. Quelle était belle sa bite...Je m'interrompis pour le lui dire. Il rit et m'empoigna par les cheveux pour me forcer à continuer.
Alors je m'appliquais. J'entortillais ma langue autour de son gland, chatouillant la petite fente avec la pointe, tout en caressant ses couilles avec mes mains. J'aspirais avec application et constance. Il finit par gémir, les yeux fermés. Le rythme s’accéléra. Au dernier moment il tira ma tête en arrière. Je ne résistai pas. Il aspergea ma face de son foutre. Il rit en me voyant grimacer.
Il se vautra sur mon lit , cigarette au bec, téléphone à la main. Il envoyait des SMS. Les "bing" insistants prouvaient une conversation instantanée et soutenue.
J'allais me rhabiller quand il me somma d'un "reste comme tu es, salope, c'est pas fini."
Il se mit à s'astiquer. je le regardais alors il se détourna en grognant et mata la couverture du magasine télé avec Jessica Alba qui le fixait de ses yeux noirs.
Il me dit d eme mettre en levrette. Je suppose qu'il ne voulait pas voir ma face. Alors gourdin en avant il plongea dans mon vagin avec une force brutale, qui m'arracha uhn cri. Il commença un va et vient infernal, je sentais son braque qui me donnait des coups qui me faisaient presque mal. Je me retins de hurler de plaisir ou de douleur , jsais pas. J'avais peur de l'effrayer un peu plus.
Mais il me frappa et cria un "gueule salope,gueule." Il avait vue sur mes fesse molles et lourdes, vérolée de graisse, une gelly s'agitant en rythme.
Ses doigts se mirent à explorer mon cul. Quand il m'estima prête , il changea de trou et m'enfourna.
Ce fut si fort que je failli en mourir. De plaisir assurément.
Je le sentais en moi, je sentais ce sexe brûlant qui me défonçait mes intestins. Je criais plus fort encore.
Il finit par exploser, mettant du sperme sur mes fesses. Il avait dû ôter cette capote que je lui avait demandé de mettre avec insistance pourtant. ça devait le gêner.
J'écris ces lignes alors qu'il se douche. L'enfoiré, il est en train de vider mon cumulus après s'être vidé les couilles sur moi.Il ne m'avait pas caressé. C'est pas grave, je le ferai moi même quand il sera parti en pensant à sa bite.
Tiens le téléphone bipe encore. Je ne peux résister. Je vais lire ses SMS.
Pourquoi? Mais putain de bordel de merde ? Pourquoi ai je lu?
L'enfoiré a pris des photos. M'a enregistré en train de gueuler. On me voit m'essuyant le visage de son foutre .On me voit à poil assise sur le petit pouf . On m'entends "gueuler comme une truie", dixit un de ses potes..."tu t'es fait le plus gros thon" "quelle lovia" Putain, mon gars tu l'as même enculé? T'as du cran!" "T'as gagné le pari haut la main..." Des trucs comme ça. La lovia , la truie, le thon c'est moi...
Il est en train de descendre.
La fenêtre est ouverte.
Il allait vers sa voiture. il entendit un drôle de bruit mais n'y prêta pas attention. Il pensait qu'il venait de niquer le plus gros tas de la ville. Il riait. ça ferait quoi? 500 euros? peut-être bien...
Ce qu'il n'avait pas compris, c'est que ses 92,5 kilos lui tombaient dessus.
Il ne se rendit compte de rien.
Il ne resta plus qu'un seul et unique tas de chair morte.
On a retrouvé son petit carnet posé sur sa coiffeuse, avec ces quelques lignes en testament
.por Marie-Paule Simonetti Dolovici, segunda, 9 de Abril de 2012 às 08:40 ·.
Il était beau comme un dieu. Le genre de gars à la démarche assurée, grand, musclé à la gueule virile. Il salua ses copains d'un geste désinvolte.
Des filles se précipitèrent, pépiant , la jupe au raz du minou, l'air pétasse.
Il se marrait avec ses potes, une gonzesse sur les genoux, la main dans le soutif, pinçant probablement un téton durci.
Je mouillai rien qu'en les regardant.
Moi, je n'osais même pas me lever et danser. Avec mes kilos , c'était un acte interdit.
Je n'avais pas envie de venir, mais ce soir là on m'avait forcé la main. Je buvait un truc à base d'un rhum immonde, abandonnée par les copines qui baisaient dans un coin ou qui tortillait du cul sur la piste.
J'aurais mieux fait de rester à m'abrutir devant la téloche, un paquet de chips pour seul compagnie. Là, j'avais même pas de chips.
Je rêvassais dans le vide quand on me tapota sur l'épaule.
C'était gueule d'ange. Il m'offrit un deuxième rhum jsais-pas-quoi puis on tenta d'échanger quelques borborygmes. Je sais pas pourquoi, je l'invitai chez moi, c'était pas loin.
Le plus dingue c'est qu'il accepta. Il me suivit avec sa bagnole. Il se gara devant l'entrée de mon immeuble.
Putain, qu'il était beau! Il était gaulé comme pas possible. Je mouillai sans même qu'il me touche. Il ne me touchait pas d'ailleurs. Normal avec ma tronche. Je m'étais apprêtée cependant, épilée et tout et tout. Pas un poli qui dépasse! Un joli gros con bien lisse et propre....Perdu dans les replis de mes cuisses. Invisible ou presque.
Lui, en le voyant à poil, j'étais lubrifiée, un autocar pouvait entrer.
Mais c'était mollasson. Il me mit à genoux. Je compris.
Je le suçais. Quelle était belle sa bite...Je m'interrompis pour le lui dire. Il rit et m'empoigna par les cheveux pour me forcer à continuer.
Alors je m'appliquais. J'entortillais ma langue autour de son gland, chatouillant la petite fente avec la pointe, tout en caressant ses couilles avec mes mains. J'aspirais avec application et constance. Il finit par gémir, les yeux fermés. Le rythme s’accéléra. Au dernier moment il tira ma tête en arrière. Je ne résistai pas. Il aspergea ma face de son foutre. Il rit en me voyant grimacer.
Il se vautra sur mon lit , cigarette au bec, téléphone à la main. Il envoyait des SMS. Les "bing" insistants prouvaient une conversation instantanée et soutenue.
J'allais me rhabiller quand il me somma d'un "reste comme tu es, salope, c'est pas fini."
Il se mit à s'astiquer. je le regardais alors il se détourna en grognant et mata la couverture du magasine télé avec Jessica Alba qui le fixait de ses yeux noirs.
Il me dit d eme mettre en levrette. Je suppose qu'il ne voulait pas voir ma face. Alors gourdin en avant il plongea dans mon vagin avec une force brutale, qui m'arracha uhn cri. Il commença un va et vient infernal, je sentais son braque qui me donnait des coups qui me faisaient presque mal. Je me retins de hurler de plaisir ou de douleur , jsais pas. J'avais peur de l'effrayer un peu plus.
Mais il me frappa et cria un "gueule salope,gueule." Il avait vue sur mes fesse molles et lourdes, vérolée de graisse, une gelly s'agitant en rythme.
Ses doigts se mirent à explorer mon cul. Quand il m'estima prête , il changea de trou et m'enfourna.
Ce fut si fort que je failli en mourir. De plaisir assurément.
Je le sentais en moi, je sentais ce sexe brûlant qui me défonçait mes intestins. Je criais plus fort encore.
Il finit par exploser, mettant du sperme sur mes fesses. Il avait dû ôter cette capote que je lui avait demandé de mettre avec insistance pourtant. ça devait le gêner.
J'écris ces lignes alors qu'il se douche. L'enfoiré, il est en train de vider mon cumulus après s'être vidé les couilles sur moi.Il ne m'avait pas caressé. C'est pas grave, je le ferai moi même quand il sera parti en pensant à sa bite.
Tiens le téléphone bipe encore. Je ne peux résister. Je vais lire ses SMS.
Pourquoi? Mais putain de bordel de merde ? Pourquoi ai je lu?
L'enfoiré a pris des photos. M'a enregistré en train de gueuler. On me voit m'essuyant le visage de son foutre .On me voit à poil assise sur le petit pouf . On m'entends "gueuler comme une truie", dixit un de ses potes..."tu t'es fait le plus gros thon" "quelle lovia" Putain, mon gars tu l'as même enculé? T'as du cran!" "T'as gagné le pari haut la main..." Des trucs comme ça. La lovia , la truie, le thon c'est moi...
Il est en train de descendre.
La fenêtre est ouverte.
Il allait vers sa voiture. il entendit un drôle de bruit mais n'y prêta pas attention. Il pensait qu'il venait de niquer le plus gros tas de la ville. Il riait. ça ferait quoi? 500 euros? peut-être bien...
Ce qu'il n'avait pas compris, c'est que ses 92,5 kilos lui tombaient dessus.
Il ne se rendit compte de rien.
Il ne resta plus qu'un seul et unique tas de chair morte.
On a retrouvé son petit carnet posé sur sa coiffeuse, avec ces quelques lignes en testament
Chambre 12
Nous nous faisions face. Enfin. Nous nous étions vus plusieurs fois. Toujours en public. Mais nous avions correspondu. Et nos sentiments étaient identiques. C'était impossible, bien évidemment. Mais nous ne voulions , pouvions, désirions résister.
L'aimer l'aimer l'aimer.
Voilà.
C'était la phrase dans ma tête quand il avait ouvert cette porte.
Je restais là à l'observer. Un instant , tout se suspendait. Il finit par m'enlacer. Juste ce petit geste encore prude. Même pas un baiser. Juste ses bras et ma tête qui se relâche, se pose et soupire.
Je finis par la lever. L'embrasser. je sentis cette petite langue qui m'effleurait.
Puis ses yeux. Alors ce fut le déchainement...
Nos bouches, nos mains, nous explorèrent...
Notre sueur, nos odeurs , nos bruits se mélangèrent.
Lui dans moi, moi autour de lui...dessus- dessous- dessus-dessous. Nos sens dessus dessous, insensés et encensés
Mon ventre palpitait, mes muscles le serraient. Il gémissait. Je crois que je criais. Je ne sais plus parce que j'étais ailleurs. Juste ce souvenir du plaisir, de la jouissance qui n'en finissait pas. Il allait au plus profond, cherchant à faire durer ce contact comme si notre vie en dépendait. Je m'en souviens. Comme je me souviens de cette porte bleue.
Mes larmes sont salées. Je hais les sentir . Je hais ce dégoût qu'elles provoquent.
Mais elles coulent. Irrémédiablement.
Parce qu'il part. Il part ...Chuchotent mes larmes. Loin , si loin.
Sa femme l'accompagne. Mais moi je reste plantée là.C'était impossible, nous le savions. Pourtant durant l'espace d'un après midi, il a été à moi.
Je hais les avions comme je hais les larmes.
De Marie-Paule Simonetti-Dolovici
L'aimer l'aimer l'aimer.
Voilà.
C'était la phrase dans ma tête quand il avait ouvert cette porte.
Je restais là à l'observer. Un instant , tout se suspendait. Il finit par m'enlacer. Juste ce petit geste encore prude. Même pas un baiser. Juste ses bras et ma tête qui se relâche, se pose et soupire.
Je finis par la lever. L'embrasser. je sentis cette petite langue qui m'effleurait.
Puis ses yeux. Alors ce fut le déchainement...
Nos bouches, nos mains, nous explorèrent...
Notre sueur, nos odeurs , nos bruits se mélangèrent.
Lui dans moi, moi autour de lui...dessus- dessous- dessus-dessous. Nos sens dessus dessous, insensés et encensés
Mon ventre palpitait, mes muscles le serraient. Il gémissait. Je crois que je criais. Je ne sais plus parce que j'étais ailleurs. Juste ce souvenir du plaisir, de la jouissance qui n'en finissait pas. Il allait au plus profond, cherchant à faire durer ce contact comme si notre vie en dépendait. Je m'en souviens. Comme je me souviens de cette porte bleue.
Mes larmes sont salées. Je hais les sentir . Je hais ce dégoût qu'elles provoquent.
Mais elles coulent. Irrémédiablement.
Parce qu'il part. Il part ...Chuchotent mes larmes. Loin , si loin.
Sa femme l'accompagne. Mais moi je reste plantée là.C'était impossible, nous le savions. Pourtant durant l'espace d'un après midi, il a été à moi.
Je hais les avions comme je hais les larmes.
De Marie-Paule Simonetti-Dolovici
O desassosego de Papagena.
É abandono mesmo!
Ninguém mais procura macular as minhas páginas virtuais
Cada vez mais virgem, vou-me tornando órfã de meus pais
Nem Luciana, ainda um pouco Luiz, é verdade, os Gaffrée me desdouram
Ah, que saudades das flores d´Alma, das entranhas de Laura Inês, das ravinas de Vivian
Das formas agudas e do cinza grafite de Júlio
das análises de Maria.
Queria perder-me nos meandros dos sons da flauta de meu noivo
Ser pisoteada pelas patas de ratos que me marcassem de poemas, ainda que sórdidos
Ser reconhecida como o cúmulo da mediocridade, porém viva, ofegante, louca
Falar várias línguas, todas mal faladas, eivadas de erros senis
Obrigado, merci, gracias, grazie, thank you!
Ser primária no meu dialeto poliglota
Mas estar viva!
Fazer críticas literárias canhestras, análises antropológicas de botequim
Viajar pela lusofonia, pelos países hispanoparlantes, pela Europa, França, Bahia
Sempre carregada de clichês, de preconceitos, de visões acientíficas
Mas sentir-me pulsar
Que se danem mes erros tipográficos e minhas imprecisões
Eu, Papagena, peço socorro Luciana, Luiz, Alma, Laura, Júlio, Vivian e tantos outros
Brasileiros, uruguaios e argentinos
Aos franceses, corsos, parisienses ou normandos
Estou perdendo as forças, não me esvaio...feneço!
de Luiz Fernando Gaffrée Thompson
Ninguém mais procura macular as minhas páginas virtuais
Cada vez mais virgem, vou-me tornando órfã de meus pais
Nem Luciana, ainda um pouco Luiz, é verdade, os Gaffrée me desdouram
Ah, que saudades das flores d´Alma, das entranhas de Laura Inês, das ravinas de Vivian
Das formas agudas e do cinza grafite de Júlio
das análises de Maria.
Queria perder-me nos meandros dos sons da flauta de meu noivo
Ser pisoteada pelas patas de ratos que me marcassem de poemas, ainda que sórdidos
Ser reconhecida como o cúmulo da mediocridade, porém viva, ofegante, louca
Falar várias línguas, todas mal faladas, eivadas de erros senis
Obrigado, merci, gracias, grazie, thank you!
Ser primária no meu dialeto poliglota
Mas estar viva!
Fazer críticas literárias canhestras, análises antropológicas de botequim
Viajar pela lusofonia, pelos países hispanoparlantes, pela Europa, França, Bahia
Sempre carregada de clichês, de preconceitos, de visões acientíficas
Mas sentir-me pulsar
Que se danem mes erros tipográficos e minhas imprecisões
Eu, Papagena, peço socorro Luciana, Luiz, Alma, Laura, Júlio, Vivian e tantos outros
Brasileiros, uruguaios e argentinos
Aos franceses, corsos, parisienses ou normandos
Estou perdendo as forças, não me esvaio...feneço!
de Luiz Fernando Gaffrée Thompson
segunda-feira, 2 de abril de 2012
Hablando claro/Fala que reluz.
En mis puños ocurre el estallido
ella está aún en la puerta señalándome
en mis piernas se confunde un nombre
estoy aún con tus caminos huyendo
mi padre ya no enciende los números
mi madre me señala urnas de acrílico
llevo ataúdes en la espalda
la voz quejosa lastimero grifo oxidado
perros dormidos en el patio oscuro
este sol es distinto
abril es el mes en que nací entre las naranjas de una sobrevivencia inevitable
mi padre me puso el nombre de su maestra
una que no lo humillaba
mi madre lloraba sobre mis párpados cerrados
ella no veía mis ojos, temía una ceguera terrible
el otoño es el puñado de sal que abría mis libros
debajo del parral maravilloso de la infancia
todas las calles están iluminadas luego abrá un día en la boca de la madera
un reptil callado breve como la mano que nunca tocó mi vientre
hoy sufro con ese dolor voraz que come lluvia de semanas enteras
mis hijas rien y mando cerrar puertas
aun quedan algunas flores de diciembre en el árbol herido del patio
la confidencia deshabitada de los trenes
tú que no vendrías nunca y el claro fondo de la madrugada
"prometo darte una respuesta hoy"
"mañana no tendré respuestas"
"sabes como se llama el espectro que se dibuja a similitud de mi osamenta insomne?"
no
yo tomaba bebidas escondida sobre la silla de madera imita mimbre
larga vigilia en ámbitos discontínuos
alguien me vió subir pesadamente la escalera
dijo
"algo le pasa, algo"
encendían luces rojas y el agua se derramaba empapándome
yo leía
leía
no sé mucho sobre insectos
salí mientras anochecía
me dormí
en cualquier parte
estamos en abril
yo nacía hace años
me abandono a celebrarte
corazón olvidado de la esperanza
ella aún me señala
yo de pie en la puerta
un cometa aterrador
sangre asimétrica
memoria perdona que no olvide
era veintiuno de marzo y mi cuello distante
está bien, armo la maleta
y parto.
Laura Inés Martínez Coronel
O manancial do decorrer dos dias de das noites
a enchurrada de vermes luminosos que iluminam o meu ser
as entranhas que geram germes de luz, como saltimbancos feridos
Condoído como a Terra em transe, abro a boca e alfinetes dourados desprendem-se
pois são obras rútilas de meu ser sempre tão profícuo em imagens delirantes
em palavras obcecantes.
Luiz Fernando Gaffrée Thompson
ella está aún en la puerta señalándome
en mis piernas se confunde un nombre
estoy aún con tus caminos huyendo
mi padre ya no enciende los números
mi madre me señala urnas de acrílico
llevo ataúdes en la espalda
la voz quejosa lastimero grifo oxidado
perros dormidos en el patio oscuro
este sol es distinto
abril es el mes en que nací entre las naranjas de una sobrevivencia inevitable
mi padre me puso el nombre de su maestra
una que no lo humillaba
mi madre lloraba sobre mis párpados cerrados
ella no veía mis ojos, temía una ceguera terrible
el otoño es el puñado de sal que abría mis libros
debajo del parral maravilloso de la infancia
todas las calles están iluminadas luego abrá un día en la boca de la madera
un reptil callado breve como la mano que nunca tocó mi vientre
hoy sufro con ese dolor voraz que come lluvia de semanas enteras
mis hijas rien y mando cerrar puertas
aun quedan algunas flores de diciembre en el árbol herido del patio
la confidencia deshabitada de los trenes
tú que no vendrías nunca y el claro fondo de la madrugada
"prometo darte una respuesta hoy"
"mañana no tendré respuestas"
"sabes como se llama el espectro que se dibuja a similitud de mi osamenta insomne?"
no
yo tomaba bebidas escondida sobre la silla de madera imita mimbre
larga vigilia en ámbitos discontínuos
alguien me vió subir pesadamente la escalera
dijo
"algo le pasa, algo"
encendían luces rojas y el agua se derramaba empapándome
yo leía
leía
no sé mucho sobre insectos
salí mientras anochecía
me dormí
en cualquier parte
estamos en abril
yo nacía hace años
me abandono a celebrarte
corazón olvidado de la esperanza
ella aún me señala
yo de pie en la puerta
un cometa aterrador
sangre asimétrica
memoria perdona que no olvide
era veintiuno de marzo y mi cuello distante
está bien, armo la maleta
y parto.
Laura Inés Martínez Coronel
O manancial do decorrer dos dias de das noites
a enchurrada de vermes luminosos que iluminam o meu ser
as entranhas que geram germes de luz, como saltimbancos feridos
Condoído como a Terra em transe, abro a boca e alfinetes dourados desprendem-se
pois são obras rútilas de meu ser sempre tão profícuo em imagens delirantes
em palavras obcecantes.
Luiz Fernando Gaffrée Thompson
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