A minha vida imita a minha arte

Espero que gostem
das nossas imitações
colocadas em palavras
virgulando, reticenciando
Nossos mergulhos
Nessa loucura chamada
Pensamento

Luciana Gaffrée

terça-feira, 6 de setembro de 2011

La xénophobie et le fascisme déguisés par la lutte contre les colonisations.

D´après tout ce que j´ai lu, il me semble que Mighè a une vision ouverte sur le rôle de la colonistation dans le monde: la colonisation en soi n´est pas um mal, au contraire, les génocides si. D´abord ceux qui colonisent on une civilisation plus avancée (puis qu´ils colonisent!) que les colonisés et leur passe leur progrès. Et parfois les colonisés dépassent les colonisateurs en développement et en colonisation même, c´est le cas du Brésil par rapport au Portugal ou des Etats-Unis par rapport à l´Angleterre. Ceci dépend évidemment des qualités du terrain où se développe la colonisation, terrain au sens propre - le territoire - et au sens figuré - le peuple. Le monde a été et est fait de colonisations, conquêtes, invasions, génocides, diasporas, depuis toujours et cela continuera comme cela, certainement. La Corse n´est pas le seul endroit sur terre à avoir vécu cela. Combien de couches civilisatrices ont façonné et façonnent encore la France? Ou l´Angleterre? Ne pas le permettre c´est du fascime et de la xénophobie: le monde est métis! Heureusement! Sinon la race humaine n´existerait pas, atteinte par des maladies proportionnées par les mariages entre les éléments de la même famille. Comme dit Mighè la Papouasie est là pour ceux qui veulent vivre chez un peuple qui n´a pas été touché par les colonisations (quoique je m´en doute, puisque depuis les néandertalhiens, ceux-ci se mélangeaient aux sapiens par des phénomènes de conquête et colonisation). Pour moi, Brésilien, il ne faut pas aller si loin, il y a encore des tribus qui n´ont pas été touchées par notre civilisation en Amazonie, on suppose. Cependant, ce qu´on voit c´est que les indiens du fin fond du Brésil se plaignent d´être renfermés dans des réserves et ils ne l´acceptent pas! Ils oublient leur langue et apprennent à parler portugais très volontiers et ils adoptent les moeurs occidentaux, parce qu´ils veulent participer au progrès et aux facilités du monde moderne. Leur culture traditionnelle devient des fossiles culturels gardés par les intellectuels blancs, renformés dans leurs cabinets cofortables climatisés. Vous ne savez pas ce qui est vivre dans um monde sous-développé! La sauvegarde des cultures - impossible, d´ailluers - c´est du chic pour des nantis qui doivent agrémenter leur fainéantise.

de Luiz Fernando Gaffrée Thompson.

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